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Didactique (Rizzo), TD n°4 : 

le 26/03/03

Imbrication : le "je" est imbriqué dans la situation, utilisé plutôt pour les enfants appartenant à des milieux défavorisés.

Régulation : Ce sont souvent des filles de milieux défavorisés qui réussissent.

Objectivation : On la retrouve dans les milieux favorisés.

L'école a une grande part de responsabilité 

Le fait de mettre l'accent sur l'école-métier, on le retrouve quelque fois au collège avec les élèves faibles de Massy mais surtout avec les élèves faibles de Saint-Denis.

Avec l'épistémologie, les élèves faibles et les bons élèves de Massy se retrouvent ensemble, il y a objectivation du savoir.

Alors que pour Saint-Denis, on se met au niveau des élèves, on enferme les élèves dans un type de rapport au savoir, il n'y a pas d'objectivation du savoir.

Meirieu se rend compte qu'apprendre des choses concrètes c'est mépriser ces enfants, on les écarte du savoir.

La "vie par rapport à "l'école" :

- Continuité dans la vie de tous les jours, l'enfant a déjà construit un type de savoir (le savoir de la vie de tous les jours).

- Spécificité : l'enfant qui rentre à l'école, entre dans un lieu spécifique, un nouveau monde avec des méthodes spécifiques.

Il y a des enfants qui ont la continuité sans spécificité (sans rupture)

Il y a des enfants qui vivent les 2 séparément : rupture sans continuité.

Ce qu'il faut faire c'est une dialectique entre continuité et spécificité, gérer ce paradoxe.

Comment gérer les enfants de milieux défavorisés ?

Comment aider ces jeunes à passer de la causalité externe (ce qui m'arrive vient de l'extérieur) à la causalité interne (j'ai prise jusqu'à un certain point sur mon histoire).

  1. Passer de la causalité externe à la causalité interne.

  2. Qui est actif dans l'apprentissage ? Il faut qu'ils prennent conscience que ce sont eux qui apprennent.

  3. Comment dépasser la contradiction plaisir-renoncemment ? Le savoir doit donner du plaisir car il permet de faire des liens, comprendre les choses.

  4. Comment passer du non-savoir au savoir ? Souvent ces enfants savent ou ne savent pas, il passe du tout au tout, il faut donc montrer qu'il existe une progressivité dans l'accès au savoir, ce n'est pas on sait ou on ne sait pas.

  5. Comment faire comprendre aux élèves la différence entre aimer une discipline, la personne qui l'enseigne et le fait  d'apprendre ?

L'apprentissage dans la vie quotidienne

Apprentissage au milieu relationnel

Respecter et être respecté

Texte de Perrenoud (Kafka) :

Comment gérer la différence ? Chaque personne a besoin d'un traitement particulier

Texte de Canevaro (vilain petit canard) :

2 méthodes : l'exclusion ou la gentillesse (sans attente réel)

L'idée est qu'il faut partir du réel et que certains ne veulent pas voir la différence.

Ce qui joue sur la scolarité est l'effet maître et l'effet établissement.

A. Mingat : Variation de rôles, il est expliqué à 70% :

On devrait plus se baser sur le charisme des enseignants sachant qu'il représente tout de même 15%.

Effet Pygmalion (il fait parti de l'effet maître), si on croit en quelque chose, ça fini par se réaliser.
Donc si on croît en ses élèves, ils deviennent meilleurs.

Polys :