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Approches Contextuelles (Rizzo), TD n°3 : le 13/11/02 Basil Bernstein : décrire les comportements scolaires par
les habitudes linguistiques des enfants dans leurs familles Dans la classe supérieur, les jouets sont un moyen
d'explorer les choses, cela correspond plus à la conception du jeu
organisé à l'école. Cela est plus difficile au niveau des relations sociales surtout pour les classes supérieures, elles utilisent beaucoup la parole chez elles pour les relations sociales. Il est plus difficile au nieau des apprentissages psychomoteurs pour les classes ouvrières sauf quand il faut montrer comment fonctionnent les choses où les classes supérieures ont plus de difficultés. Conception de Bernstein : L'enfant de classe ouvrières réalise différents des apprentissages par le seul biais des manipulation pratiques qu'ils impliquent. Alors que l'enfant de classe supérieure apprend en même temps les manipulations pratiques et les principes. Remarque : Le fait d'expliciter certaines choses permet à l'enfant d'avoir un recul. Il y aurait plus d'autonomie dans les classes supérieures (ce que recherche l'école). Bernstein : schématiquement dans les classes supérieures, on a le langage formel. On met beaucoup d'importance sur le choix des mots. On peut difficilement prévoir l'organisation des éléments d'une phrase. Dans les classes inférieures, on a le langage informel. On peut prévoir facilement la structure de la phrase ce qui est un frein à l'apprentissage. 2 types des codes :
F. de Singly : la réussite à l'école c'est les grandes écoles Un étranger n'a pas la nationalité, un immigré peut avoir la nationalité (6 millions en 1995 en France). La scolarisation des enfants issus de l'immigration, ces enfants ont plus de difficulté scolaires plusieurs facteurs :
Remarque : on ne comprend pas les choses comparables, il faut mettre les catégories sociales en avant et dans ce cas à côté le comparable pour qu'ils travaillent mieux. Les parents sont souvent ambitieux ex : 75% des parents français veulent des études longues et 91% des étragers. On commence à le faire tard H. Dastide en 1985. Pourquoi les enfants étrangers tendent à réussir mieux, la motivation, une façon de s'intégrer, les parents courageux? Souvent des familles triées sur le volet, le "déclassement" de leurs diplômes. Ne pas être diplômé pour eux, ne eut pas dire la même chose, il n'ont peut-être pas la possibilité, ils ont une volonté pour s'en sortir, les parents anticipent les difficulté rencontrées plus tard sur le marché. L'entrée des enfants d'immigrés à l'université D. Schnapper. Remarque : Au primaire, un écart entre enfants français, étrangers et immigrés mais cette observation s'inverse après. 1980 : J.P. Payet : incontestablement les appréciation des profs différents face à des origines ethniques différentes, les jugements sont centrés sur les élèves français mais un comportement surtout pour les élèves étrangers en particuliers maghrébins est souvent accompagné d'agressivité mais c'est surtout un combat et une volonté de réussir. S.P. Birouti : idem Souvent l'immigré = baisse de niveau dans des établissements où il y a beaucoup d'immigrés, il y a encore en place des "classes préservées", bons élèves sans garçons d'origine maghrébine et sans filles françaises. Elles existent encore et elles peuvent provoquer de l'agressivité. Remarque : Les filles maghrébines réussissent particulièrement car elles sont
plus tenues et donc sortent moins. L'école privée/publique n'est pas très égalitaire. Beaucoup de tri, on arrive mieux à gérer les difficultés inégalitaires suivant les PCS aucune explication caractérise les élèves, il faudrait fouiller su côté pédagogique. Un lieu entre le fait que les parents viennent d'un système ou d'un autre.
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